FURIE ROCK (Jérome de Missoltz) 1988 VF 0h22 - Court-Métrage Français
Ça commence par un combat de boxe qui finit en baston générale. Le ton est donné, ce court métrage en noir et blanc raconte l'histoire de deux gangs parisiens qui s'affrontent pour une fille. Les Asnays vs Les Crazy Cats. Les Ducky Boys et les Red Warriors dans le rôle des Crazy Cats. A l'époque les chasseurs de skins se font de plus en plus nombreux, mais même en tant qu'alliés, les tensions existes. Ah les meufs... Court métrage unique dans son genre, ce qui lui méritait bien quelques lignes dans ce zine. Tu peux mater ça sur Youtioube.
PUNK (Jean-Stéphane Sauvaire) 2012 VF 1h30 - Film Français
Film basé sur l’œuvre de Boris Blergmann, Viens là que je te tue ma belle.
Le film retrace l'histoire de Polo, élevé seul par sa mère, casse-couille & égoïste au possible, interprétée par Béatrice Dalle, qui reste fidèle à elle même, une piettre comédienne complètement ché-per!
Dès les premières images, on assiste à un concert de THE CASUALTIES ! Puis le film sombre dans le "déjà vu" ! Faire les cons dans les supermarchés, saccager, voler, embrouilles skins punks, racisme, intolérance, drogue, contrôles de Police, bavures, baise, virement du cutille, descente des skins zina à la sortie d'un concert qui dégénère, tout est réuni pour en faire un film (trop?) remplis de clichés. Le tout entrecoupé par des passage live d'ABRASIVE WHEELS, BREAKOUT, PESTPOKEN & THE ADICTS (filmé au Spa, La Miroiterie et au Glaz'Art en 2011)
Les punks et les skins sharp de Parmentier jouent leurs propres roles, par contre côté faf, c'est des acteurs hein ! Pas la trace d'un Batskin ou de ses copains nazillons.
La bande originale, elle est très intéressante : THE CASUALTIES, THE RESTARTS, THE ADICTS, PESTPOCKEN, BREAKOUT, COCK SPARRER, HARDTIMES, LOWER CLASS BRAT, LEFTOVER CRACK, US BOMBS, MONSTER SQUAD & OBTRUSIVE
Le La Haine version punk, La Haine m'avait scotché, PUNK ne m'a rien fait. Seuls intérêts, laisser une trace de la scène punk-skin parisienne et les extraits de concerts ! La B.O est plutôt bandante
Le film retrace l'histoire de Polo, élevé seul par sa mère, casse-couille & égoïste au possible, interprétée par Béatrice Dalle, qui reste fidèle à elle même, une piettre comédienne complètement ché-per!
Dès les premières images, on assiste à un concert de THE CASUALTIES ! Puis le film sombre dans le "déjà vu" ! Faire les cons dans les supermarchés, saccager, voler, embrouilles skins punks, racisme, intolérance, drogue, contrôles de Police, bavures, baise, virement du cutille, descente des skins zina à la sortie d'un concert qui dégénère, tout est réuni pour en faire un film (trop?) remplis de clichés. Le tout entrecoupé par des passage live d'ABRASIVE WHEELS, BREAKOUT, PESTPOKEN & THE ADICTS (filmé au Spa, La Miroiterie et au Glaz'Art en 2011)
Les punks et les skins sharp de Parmentier jouent leurs propres roles, par contre côté faf, c'est des acteurs hein ! Pas la trace d'un Batskin ou de ses copains nazillons.
La bande originale, elle est très intéressante : THE CASUALTIES, THE RESTARTS, THE ADICTS, PESTPOCKEN, BREAKOUT, COCK SPARRER, HARDTIMES, LOWER CLASS BRAT, LEFTOVER CRACK, US BOMBS, MONSTER SQUAD & OBTRUSIVE
Le La Haine version punk, La Haine m'avait scotché, PUNK ne m'a rien fait. Seuls intérêts, laisser une trace de la scène punk-skin parisienne et les extraits de concerts ! La B.O est plutôt bandante
SKIN (Hanro Smitsman) 2008 VOST 1h25 - Téléfilm hollandais
(dispo en allemand sous-titré anglais sur Youtube)
Pays-Bas - 1979
Frankie Epstein, blondinet juif au cheveux long en Fred Perry/bretelles traine avec Jeffrey, un skin black qui deal de la ganja et écoute du ska.
Il traine dans les concerts punks, prend du speed, casse des bagnoles de flics, fait des GAV.
Son discours et sa vision des juifs est tendancieuse peut être du au fait que son père, juif, s’intéresse plus aux commémorations religieuses qu'à son fils ou sa femme atteinte d'un cancer et hospitalisée.Les tensions avec son père ne s'amenuisent pas.
La mère de son pote black, coiffeuse, lui rase la tête. Sa mère perd ses cheveux suite à son cancer, il tente de lui ressembler. Il commence à se nationaliser un peu mais traine toujours avec son pote black.
Les nazis et les punks sortent dans les mêmes concerts, donc bastons obligent. Les nazis essayent de rallier Frankie à leur cause. En vain... pour le moment. Puis il en a marre de voir que la femme "étrangère" (et sa famille) qui partage la chambre avec sa mère à l'hosto s'occupe(nt) mieux de sa mère que ne le fait son père.
C'est à ce moment là, qu'il va virer de cutille. Sa mère meurt. A son enterrement, ses potes nazis viennent le soutenir. C'est à ce moment là où son père lui tourne le dos et le rejette. Il se tatoue une totenkopf avec une svastika. Ça y est, il a les deux pieds dans le plat. Frankie est un nazi à 100%. Il plantera même un marocain lors d'une bagarre. Le nazi qui était avec lui lui tournera le dos et Frankie endossera seul la responsabilité. Direction la taule où il croisera son ancien pote black (on sait pas pourquoi il y est entré...) accompagné de ses autres potes black anti-nazi. Après plusieurs bagarre au sein de la prison. Frankie se fera planter à son tour.
Pays-Bas - 1979
Frankie Epstein, blondinet juif au cheveux long en Fred Perry/bretelles traine avec Jeffrey, un skin black qui deal de la ganja et écoute du ska.
Il traine dans les concerts punks, prend du speed, casse des bagnoles de flics, fait des GAV.
Son discours et sa vision des juifs est tendancieuse peut être du au fait que son père, juif, s’intéresse plus aux commémorations religieuses qu'à son fils ou sa femme atteinte d'un cancer et hospitalisée.Les tensions avec son père ne s'amenuisent pas.
La mère de son pote black, coiffeuse, lui rase la tête. Sa mère perd ses cheveux suite à son cancer, il tente de lui ressembler. Il commence à se nationaliser un peu mais traine toujours avec son pote black.
Les nazis et les punks sortent dans les mêmes concerts, donc bastons obligent. Les nazis essayent de rallier Frankie à leur cause. En vain... pour le moment. Puis il en a marre de voir que la femme "étrangère" (et sa famille) qui partage la chambre avec sa mère à l'hosto s'occupe(nt) mieux de sa mère que ne le fait son père.
C'est à ce moment là, qu'il va virer de cutille. Sa mère meurt. A son enterrement, ses potes nazis viennent le soutenir. C'est à ce moment là où son père lui tourne le dos et le rejette. Il se tatoue une totenkopf avec une svastika. Ça y est, il a les deux pieds dans le plat. Frankie est un nazi à 100%. Il plantera même un marocain lors d'une bagarre. Le nazi qui était avec lui lui tournera le dos et Frankie endossera seul la responsabilité. Direction la taule où il croisera son ancien pote black (on sait pas pourquoi il y est entré...) accompagné de ses autres potes black anti-nazi. Après plusieurs bagarre au sein de la prison. Frankie se fera planter à son tour.
CINÉMA BRITANNIQUE
LIAM (Stephen Frears) 2000 VOST 1h27
Nouvel an dans ce quartier irlandais de Liverpool à l'époque où chanter et danser dans les lieux publics est interdit.
Les tensions entre pro IRA et pro UK se fait sentir. En cette période de crise, on compte chaque shilling pour chaque dépense, les enfants travaillent même pour "survivre" en servant des riches familles juives, c'est le cas de Teresa, seule fille de la famille Sullivan. Elle récure les chiottes pendant que la gamine de riche famille prend des leçons de piano, elle ira même jusqu'à récupérer de la viande destinée à la poubelle car ils en on marre d'en manger depuis une semaine.
Pour le petit frère, Liam, difficile acceptation de cette école stricte et basée sur la religion catholique et qui n'hésite pas à lobotomiser à grands coups d'incohérence! Ces problèmes de dictions ne faciliteront pas la tâche.
Le père sombre petit a petit dans le nationalisme, refusant de voir ses collègues travailler pour peau d'balle pour un dirigeant irlandais!, refusant le fait qu'il se ruine pour habiller ses enfants décemment à chaque fête catholique. Et de revendre le lendemain lesdits habits chez un préteur sur gage... juif, qui verra même son échoppe incendiée
Il sera même séduit par la British Union of Fascists qui recrute à même la rue, qui fait porter le poids de la crise des docks aux juifs et irlandais
Dure image que cette famille partageait entre une mère ancrée dans la religion catho et un père virant vers le fascisme, ce fascisme qui le poussera même à commettre l'irréparable. en allant jeter un cocktail Molotov dans la riche demeure des juifs qui faisait travailler sa fille, celui ci atterrissant directement sur Teresa, sa fille qui prend feu en quelques secondes. Elle qui était venu expliquer la raison pour laquelle elle ne pouvait plus travailler pour eux... conseillée par le prêtre.
Un film poignant et qui ne peut que vous remettre en question. Je conseille.
Les tensions entre pro IRA et pro UK se fait sentir. En cette période de crise, on compte chaque shilling pour chaque dépense, les enfants travaillent même pour "survivre" en servant des riches familles juives, c'est le cas de Teresa, seule fille de la famille Sullivan. Elle récure les chiottes pendant que la gamine de riche famille prend des leçons de piano, elle ira même jusqu'à récupérer de la viande destinée à la poubelle car ils en on marre d'en manger depuis une semaine.
Pour le petit frère, Liam, difficile acceptation de cette école stricte et basée sur la religion catholique et qui n'hésite pas à lobotomiser à grands coups d'incohérence! Ces problèmes de dictions ne faciliteront pas la tâche.
Le père sombre petit a petit dans le nationalisme, refusant de voir ses collègues travailler pour peau d'balle pour un dirigeant irlandais!, refusant le fait qu'il se ruine pour habiller ses enfants décemment à chaque fête catholique. Et de revendre le lendemain lesdits habits chez un préteur sur gage... juif, qui verra même son échoppe incendiée
Il sera même séduit par la British Union of Fascists qui recrute à même la rue, qui fait porter le poids de la crise des docks aux juifs et irlandais
Dure image que cette famille partageait entre une mère ancrée dans la religion catho et un père virant vers le fascisme, ce fascisme qui le poussera même à commettre l'irréparable. en allant jeter un cocktail Molotov dans la riche demeure des juifs qui faisait travailler sa fille, celui ci atterrissant directement sur Teresa, sa fille qui prend feu en quelques secondes. Elle qui était venu expliquer la raison pour laquelle elle ne pouvait plus travailler pour eux... conseillée par le prêtre.
Un film poignant et qui ne peut que vous remettre en question. Je conseille.
THE VAN (Stephen Frears) 1996 VOST 1h33
Basé sur une nouvelle de Roddy Doyle
1989. Larry & Brendan sont deux pères au chômage de Dublin, ils retapent un vieux camtar trouvé dans un terrain vague que Brendan achète pour une bouchée de pain afin d' en faire un fish & chips truck food. Ils vont profiter du parcours inattendu de l'équipe d'Irlande durant la coupe du monde de Football 1990. Les affaires marchent mais l'Italie met un point final au parcours de l'équipe d'Irlande. Ils partent donc sur la côte profiter de la période estivale, du concert de Magadeth. Hygiène déplorable, service douteux. Personnellement, je m'y serai pas risqué!
Arrive la visite d'un agent de la santé publique et de l'environnement qui mettra fin à leur expérience. Une comédie qui casse pas des briques mais elle remplie bien son rôle de divertissement pendant 1h30.
1989. Larry & Brendan sont deux pères au chômage de Dublin, ils retapent un vieux camtar trouvé dans un terrain vague que Brendan achète pour une bouchée de pain afin d' en faire un fish & chips truck food. Ils vont profiter du parcours inattendu de l'équipe d'Irlande durant la coupe du monde de Football 1990. Les affaires marchent mais l'Italie met un point final au parcours de l'équipe d'Irlande. Ils partent donc sur la côte profiter de la période estivale, du concert de Magadeth. Hygiène déplorable, service douteux. Personnellement, je m'y serai pas risqué!
Arrive la visite d'un agent de la santé publique et de l'environnement qui mettra fin à leur expérience. Une comédie qui casse pas des briques mais elle remplie bien son rôle de divertissement pendant 1h30.
FISH & CHIPS - "East is East" (Damien O'Donnell) 1999 VOST 1h36
Salford, Manchester, 1971
On assiste à un mariage dans la plus pure tradition pakistanaise. Mais au cours de la cérémonie, Nazir, le jeune prétendu ne peux pas, il se tire de la mosquée. Honte sur la famille. Il s'enfuira vivre en banlieue, à Eccles. Deuxième honte qui arrive, Sajid le plus jeune enfants est aperçu en train de pisser et les autres enfants remarquent qu'il n'est pas circoncis!
Les enfants mangent du bacon et doivent se cacher de leur père Zahir, "anglais" depuis 1937. Il a montée son affaire, un fish & chips.
Bradford / Bradistan, ville très pakistannaise, où tout le monde parle Ourdou. Ils y vont pour "voir un film", pakistanais of course... mais pas que, en fait c'est une entourloupe du père pour marier ses fistons par la même. Les filles proposées sont pas très jolies du tout! mais pour pas décevoir sa religion, il approuve, bien que déçu. Il en parle secrètement à sa femme mais le plus jeune a entendu et balance le morceau ses frères, qui se vengent sur les habits de fête achetés en screud! s'en suit des violences sur le seul fils "religieux" qui couvre ses frères ainsi que sur sa femme.Pour éviter que la famille n'éclate, les prétendus acceptent mais la rencontre ne se fera pas comme prévue. Un film assez dérangeant mais qui montre bien le malaise qu'il peut y avoir dans une famille quand tous ne partagent pas le même degrés d'importance face à cette même religion. Ah oui j'oubliais... la mère est anglaise.
On assiste à un mariage dans la plus pure tradition pakistanaise. Mais au cours de la cérémonie, Nazir, le jeune prétendu ne peux pas, il se tire de la mosquée. Honte sur la famille. Il s'enfuira vivre en banlieue, à Eccles. Deuxième honte qui arrive, Sajid le plus jeune enfants est aperçu en train de pisser et les autres enfants remarquent qu'il n'est pas circoncis!
Les enfants mangent du bacon et doivent se cacher de leur père Zahir, "anglais" depuis 1937. Il a montée son affaire, un fish & chips.
Bradford / Bradistan, ville très pakistannaise, où tout le monde parle Ourdou. Ils y vont pour "voir un film", pakistanais of course... mais pas que, en fait c'est une entourloupe du père pour marier ses fistons par la même. Les filles proposées sont pas très jolies du tout! mais pour pas décevoir sa religion, il approuve, bien que déçu. Il en parle secrètement à sa femme mais le plus jeune a entendu et balance le morceau ses frères, qui se vengent sur les habits de fête achetés en screud! s'en suit des violences sur le seul fils "religieux" qui couvre ses frères ainsi que sur sa femme.Pour éviter que la famille n'éclate, les prétendus acceptent mais la rencontre ne se fera pas comme prévue. Un film assez dérangeant mais qui montre bien le malaise qu'il peut y avoir dans une famille quand tous ne partagent pas le même degrés d'importance face à cette même religion. Ah oui j'oubliais... la mère est anglaise.
SOMERS TOWN (Shane Meadows) 2008 VOSTF 1h08
C'est l'histoire de Tomo (Shaun dans "This Is England") qui quitte Nottingham pour une virée à Londres. Il se fait acheter des bières par un passant. Il tise seul dans la rue et se fait défoncer la gueule par trois lascars.
Marek, d'origine polonaise, passionné de photographie, se balade avec un tee Manchester United, équipe pas très appréciée dans le quartier. Il se voit offrir un tee d'Arsenal floqué "Terry Henry" par un type qui lui filera des petits jobs.
Tomo croise la femme qu'il a rencontré dans le train. Elle lui paye à manger vu qu'il s'est fait dépouiller de son sac et de ses tunes. Elle lui filera même 10 livres. Puis il fera la rencontre de Marek. Ils se lient d'amitié. Dégotent des petis jobs ensemble. Marek cache secrètement Tomo chez son daron, Marius. Tomo & Marek sont tous deux sous le charme de Marie, une française qui travaille dans un snack. Désillusion quand ils apprennent qu'elle a du rentrer en France. Alors ils se déchirent la gueule à coup d'alcool chez Marek. Ils foutent la maison sans dessus dessous. Au retour du père, qui doit faire un crédit à l'épicerie polonaise pour manger (bah, wé, il dépense tout en alcool...), il jarte Tomo de la maison qui trouvera refuge chez le type qui les emploie. Ils économisent et partent à Paris retrouver Marie. Le film est un peu bidon. Je m'attendais à mieux! Merde.
Marek, d'origine polonaise, passionné de photographie, se balade avec un tee Manchester United, équipe pas très appréciée dans le quartier. Il se voit offrir un tee d'Arsenal floqué "Terry Henry" par un type qui lui filera des petits jobs.
Tomo croise la femme qu'il a rencontré dans le train. Elle lui paye à manger vu qu'il s'est fait dépouiller de son sac et de ses tunes. Elle lui filera même 10 livres. Puis il fera la rencontre de Marek. Ils se lient d'amitié. Dégotent des petis jobs ensemble. Marek cache secrètement Tomo chez son daron, Marius. Tomo & Marek sont tous deux sous le charme de Marie, une française qui travaille dans un snack. Désillusion quand ils apprennent qu'elle a du rentrer en France. Alors ils se déchirent la gueule à coup d'alcool chez Marek. Ils foutent la maison sans dessus dessous. Au retour du père, qui doit faire un crédit à l'épicerie polonaise pour manger (bah, wé, il dépense tout en alcool...), il jarte Tomo de la maison qui trouvera refuge chez le type qui les emploie. Ils économisent et partent à Paris retrouver Marie. Le film est un peu bidon. Je m'attendais à mieux! Merde.
GOOD MORNING ENGLAND - "The Boat That Rocked" (Richard Curtis) 2009 VF 2h
Des animateurs qui passent du rock à la radio! De nos jours, tout le monde trouve ça normal. Mais pas les autorités anglaises des années 60's qui feront tout leur possible pour empêcher ces animateurs de diffuser ce son nouveau.
Ils sont retranchés sur un bateau estampillé "Radio Rock" au beau milieu de l'océan, enfin assez loin des côtes pour émettre sur le sol britannique depuis les eaux internationales en Mer du Nord. Les filles ne sont autorisées qu'une fois par semaine..
Les émissions sont suivies par toute la jeunesse anglaise. Ça motive d'autres personnes à créer ces radios dites "pirates".
Sex, Drugs & Rock'nRoll sont les trois mots d'ordre de ce film! Malheureusement le bateau prend l'eau, mettant ainsi un point final à cette aventure. Film sympa mais qui casse pas des briques.
Anecdote : Ce film propose une bande-son dont certaines chansons ont été enregistrées après 1966, date à laquelle se déroule l'histoire (merci wiki pour l'info!).
Radio Pirates : Radio London (1964-1967) / Radio Caroline (1964-1990). Toutes les deux sont anglaises. John Peel était animateur sur Radio London! Eh ouais!
Ils sont retranchés sur un bateau estampillé "Radio Rock" au beau milieu de l'océan, enfin assez loin des côtes pour émettre sur le sol britannique depuis les eaux internationales en Mer du Nord. Les filles ne sont autorisées qu'une fois par semaine..
Les émissions sont suivies par toute la jeunesse anglaise. Ça motive d'autres personnes à créer ces radios dites "pirates".
Sex, Drugs & Rock'nRoll sont les trois mots d'ordre de ce film! Malheureusement le bateau prend l'eau, mettant ainsi un point final à cette aventure. Film sympa mais qui casse pas des briques.
Anecdote : Ce film propose une bande-son dont certaines chansons ont été enregistrées après 1966, date à laquelle se déroule l'histoire (merci wiki pour l'info!).
Radio Pirates : Radio London (1964-1967) / Radio Caroline (1964-1990). Toutes les deux sont anglaises. John Peel était animateur sur Radio London! Eh ouais!